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8 août 2015

Petit tour à la bibliothèque #16

lisieux

J'avais très envie d'aller à la bibliothèque parce que je voulais à tout prix le deuxième tome de Muchachas voire le troisième mais manque de pot pour moi, ils étaient sortis. Je me console en me disant que la gentille bibliothècaire me les mets de côté... Il faut juste être rapide à lire les 3 que j'ai empruntés pour vite y retourner ^^.

En plus des trois emprunts, je me suis pris deux livres de ceux qu'ils donnaient.*

Les empruntés:

A Mélie, sans mélo de Barbara Constantine

(tellement aimé deux autres de ses romans que je suis pressée de me plonger dans celui-ci)

A Méli, sans mélo

Mélie, 72 ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer chez elle toutes les vacances d'été. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé. Elle verra ça plus tard, La priorité, c'est sa Clarinette chérie. Mélie, le mélo, c'est pas son truc. Elle va passer l'été (le dernier ?) à fabriquer des souvenirs à Clara.

L'enfant du Titanic de Leah Fleming

(je sais que j'en ai déjà entendu parler mais je ne sais plus si c'était positif ou négatif)

L'enfant du Titanic

Tout au long du XXe siècle, entre l'Angleterre et les États-Unis, l'histoire d'une improbable amitié née à bord du Titanic entre deux femmes que tout oppose, une amitié si forte qu'elle défiera les conventions sociales, les épreuves et le temps. Dans le confort luxueux du pont supérieur du Titanic, Celeste rêve au moment où elle retrouvera son petit garçon, resté avec son père dans l'Ohio. Dans les coursives des troisièmes classes, May regarde son mari et son bébé, et rêve à la nouvelle vie qui les attend en Amérique. Quelques heures plus tard, le majestueux paquebot a sombré, les deux femmes ont tout perdu. Dans le canot de sauvetage qui les emporte, May serre dans ses bras un enfant. Unies à jamais par ce qu'elles viennent de vivre, profondément transformées, Celeste et May reprennent chacune le cours de leur vie avec une détermination nouvelle. Celeste parviendra-t-elle à échapper aux règles d'un milieu étouffant et misogyne pour s'émanciper et élever seule son fils ? May, hantée par la décision qu'elle a prise cette nuit-là, pourra-t-elle un jour faire la paix avec sa conscience et révéler à son amie la terrible vérité ? Qui est vraiment l'enfant du Titanic ?

Nous étions les hommes de Gilles Legardinier

(envie de le découvrir dans un autre genre)

Nous étions les hommes

C’est l’une des plus fascinantes énigmes qui soit. Sur notre planète, il existe plus de 1800 espèces de bambous. Chaque fois que l’une d’elles fleurit, tous ses spécimens, où qu’ils se trouvent sur Terre, le font exactement au même moment. Ensuite, l’espèce meurt. Personne ne sait expliquer ce chant du cygne, ni l’empêcher. Aujourd’hui, l’homme va peut-être connaître le même sort. Arrivé lui aussi à son apogée, il risque de disparaître… Dans le plus grand hôpital d’Edimbourg, le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Associé à une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert une clé de cette maladie qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. Leurs conclusions sont aussi perturbantes qu’effrayantes. Si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. Nous redeviendrons des animaux. C'est le début d'une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux. Partout sur la Terre, face à ceux qui veulent contrôler le monde et les vies, l’ultime course contre la montre a commencé...

Ceux que je garde:

La vie est belle de Roberto Benigni et vincenzo Cerami

(j'adore le film, à voir en livre)

LA vie est belle

«Et, direz-vous, pourquoi faire rire d'une chose aussi tragique, de la plus grande horreur du siècle ? Mais parce que c'est une histoire dédramatisée, un film dédramatisé. Parce que la vie est belle, et que le germe de l'espoir se niche jusque dans l'horreur ; il y a quelque chose qui résiste à tout, à quelque destruction que ce soit.Le rire nous sauve ; voir l'autre côté des choses, le côté surréel, amusant, ou parvenir à l'imaginer, nous empêche de nous briser, d'être emportés comme des fétus, nous aide à résister pour réussir à passer la nuit, même lorsqu'elle paraît longue.Et l'on peut, après tout, faire rire sans blesser personne : il existe toute une tradition d'humour juif particulièrement téméraire à cet égard.»Roberto Benigni.

Lettres à l'absente de Patrick Poivre d'Arvor

(je crois l'avoir déjà lu mais je ne l'ai pas dans ma bibliothèque donc...)

Lettres à l'absente

Comme des milliers d'adolescentes en France, Solenn, seize ans, est atteinte d'anorexie mentale : une maladie d'origine psychologique qui conduit le sujet à refuser toute alimentation, au point de mettre sa vie en péril. Solenn est l'" absente " de cette bouleversante lettre ouverte, dans laquelle Patrick Poivre d'Arvor, en marge de la vie trépidante d'un journaliste vedette de la télévision, s'interroge inlassablement sur les causes, sur l'aide aussi qu'il peut apporter à son enfant. Et dévoile la souffrance d'un père par-delà son aura d'homme public.

 

Je suis vraiment contente de ces petits trésors...

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